La marche du temps qui court

 

Je m’interroge souvent sur la question de la solitude. Je la conçois comme une espèce de maladie silencieuse, invisible et non-offensive. Ces espèces de phénomènes qui ne signalent leur présence qu’après avoir déjà opéré tous les dégâts nécessaires en amont. Je ne sais pas si cet homme, ou du moins si ces deux hommes qui marchent, vivent dans la solitude ou des moments de solitude. Mais ils sont dans des réalités parallèles au moment où je me trouve là, avec mes questions…

1